Les 3 films qui me donnent envie de me surpasser

envie de me surpasser

Ce billet participe à l’évènement ttt (top three tuesday) dev perso inspiré du TTT (top ten tuesday) des blogs littéraires. le ttt dev perso est réservé au blog traitant de développement personnel. Pour participer voir cette page. Le thème de cette semaine est Les 3 films qui donnent envie de se surpasser.

3. Le Tombeau des lucioles

Le Tombeau des lucioles de Isao Takahata

 Résumé : Japon, été 1945. Les bombardiers américains arrosent Kobe de bombes incendiaires. Un jeune adolescent et sa petite sœur perdent leurs parents. Ils se réfugient dans leur famille proche mais cruelle. Leur quête désespérée d’un monde meilleur les amènera à traverser les ruines du Japon ensanglanté par la fin de cette guerre. Un plaidoyer universel pour l’enfance sacrifiée [Le Monde] Une œuvre originale où l’animation sert avant tout l’ambition du propos [Les Cahiers du cinéma] Une véritable révélation dans le genre du dessin animé [Le Parisien].

J’ai du m’y prendre à plusieurs fois pour regarder ce film jusqu’au bout. J’avais des boules au ventre à chaque chapitre et de la même façon que le film « les jeux interdits », j’ai passé plusieurs jours à me morfondre sur l’horreur des dommages collatéraux provoqués par la bêtise humaine. Ce genre de film me permettent, malgré la difficulté que j’ai à les regarder, d’apprécier au mieux la chance que j’ai d’être dans un pays en paix et tant pis si je n’ai pas les parents les plus chouettes du monde car mon malheur est rien par rapport à toute la misère du monde.

Quand je vois aux informations des bombardements comme pendant le conflit israélo-palestinien, je me demande si d’autres enfants ne sont pas en train de vivre de tels horreurs à seulement quelques centaines de kilomètres de moi qui suis là au chaud. Je ne peux malheureusement rien pour eux mais au moins je ne les ignore pas comme ses passants qu’on voit au début du tombeau des lucioles. À croire que faire semblant de ne pas voir la misère fait qu’elle disparait. On ne peut pas sauver tout le monde mais ayons au moins le courage de le reconnaitre.

2. Dirty dancing

Dirty Dancing avec Patrick Swayze

Durant l’été de 1963, la jeune Baby, 17 ans, est en vacances avec ses parents au Catskill’s Resort. Un soir, elle est attirée par une musique provenant du pavillon du personnel. Elle y fait la rencontre de Johnny, le professeur de danse de l’hôtel. Elle deviendra sa partenaire en danse et… en amour.

C’est un univers complétement différent quoiqu’il s’agit aussi de personnes qui souffrent à leur niveau de l’absence d’aide sociale. Ce que je retiens surtout c’est la volonté de dépassement de soi et d’abnégation dont fait preuve le personnage pour venir en aide à une personne qu’y au premier abord est loin d’être méritante. Elle prend des risque en plus envers sa famille mais ne renonce pas pour autant.

3. Rocky

Rocky Intégrale avec Sylvester Stallone

C’est l’histoire d’un raté, d’un boxeur de pacotille de Philadelphie, qui obtient une seconde chance dans la vie en se voyant proposer une tentative impossible pour décrocher le titre de poids lourd.

Ce que je retiens c’est surtout le courage, la motivation et l’Ambition du personnage. Rocky est un looser mais passe du jour au lendemain au statut de héros. C’est la preuve qu’il ne faut pas abandonner et que la réussite finit parfois par arriver à condition d’y croire toujours et encore. Pour réussir, il faut saisir les opportunités et savoir garder une voie de vie en accord avec ses principes moraux.

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